11 septembre
Structure métallique visible lors de l'effondrement des tours
Le noyau central des tours WTC, conçu pour résister à l’impact d’un Boeing 707 (à l’époque où elles ont été imaginées c’était le plus lourd en
circulation).
Ce noyau bétonné, et ses 47 poutrelles d’acier le renforçant, formant cage résistante autour des longs tunnels creux des ascenseurs et des escaliers de
secours.
Ces poutrelles gigantesques, restées comme par enchantement en l’air au milieu de l’énorme nuage créé par l’effondrement.
Un nuage purement pyroclastique, digne de celui qui a accompagné l’explosion du mont St-Helens, et non un simple nuage d’amiante dont les deux édifices regorgeaient
(de l’amiante y était mêlée en proportions gigantesques !).
Cette fois, c’est encore plus saisissant, à vrai dire : on le distingue très clairement, ce fameux noyau... d’acier complexe, où ce qu’il reste de ses
poutrelles.
Le noyau tient effectivement un plus longtemps en l’air que le reste.
Preuve donc que l’on n’a pas de phénomène de mille-feuilles !
Les "plateaux" ont disparu, les façades ont été expédiées à distance, mais le noyau est encore là... quelques secondes.
Les étages ne se sont donc pas effondrés uniformément sur eux-mêmes !
Le mille-feuilles ne s’est donc pas produit !
Le noyau n’est pas descendu comme les étages !
Mais il nous montre qu’il termine lui aussi en poussières !