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Au sujet du Gardasil, le secret le mieux gardé par les autorités est que des milliers de jeunes filles sont victimes d'effets indésirables souvent très graves et que certaines en meurent.

Le seul pays qui rapporte ces accidents est pour le moment les Etats-Unis, où il existe plus de 20 100 rapports d'effets indésirables graves, et 84 décès. Parmi ces décès, on relève celui d'un bébé âgé de 40 jours, qui a été exposé au Gardasil au travers du lait de sa mère. Lorsqu'on sait - et on ne le répètera jamais assez - que seuls 1 à 10 % des accidents vaccinaux sont officiellement enregistrés, il y a de quoi s'inquiéter. Aussi, en France, le « suivi renforcé » de ce « médicaments sous surveillance » semble bien léger par rapport à cette hécatombe qui est sans doute peu connue de nos pouvoirs publics.
Mais la liste est loin d'être exhaustive, et des effets indésirables graves continuent à être signalés, particulièrement la paralysie, la paralysie faciale périphérique de Bell et le syndrome de Guillain-Barré. Le 26 octobre 2010, Marian Greene, la mère d'une jeune fille dont la vie a été brisée par le Gardasil, écrivait au Président Obama afin de l'informer des dangers des vaccins HPV : Gardasil et Cervarix. Elle énumérait une liste importante de victimes, comme Zéda qui a souffert d'une encéphalite provoquée par le vaccin, Ashlee qui ne peut plus prendre de repas sans vomir, Lauren qui a soudainement développé un lymphome ou Victoria qui a souffert de pertes de mémoire, au point de ne plus savoir qui elle était. Elle citait aussi Brittney, 20 ans perdant soudainement le contrôle de ses jambes, Holly qui courait de 9 à 15 kilomètres par jour avant la vaccination et ne peut plus marcher sans aide.
Marian Greene, qui précisait qu'il ne s'agissait là que de « quelques exemples », citait aussi des victimes mortes à l'âge où la vie commence vraiment : Megan Hils, Christina Tarsell, Brooke Petkevicus, Mosehella Roberts, Jenny Tetlock, Santana Valdez, Jasmin Soriat, Annabelle Morin, Amber Kaufman, sportive de 16 ans, en pleine forme, qui eut une attaque cardiaque tout de suite après le vaccin. La cause de sa mort est donc une « attaque cardiaque » due à une « étiologie indéterminée ». Cette conclusion est devenue coutumière chez les « experts ». Ainsi, Jessica Ericzon, 17 ans, en pleine santé, est décédée deux jours après la troisième injection du Gardasil. L'expert médical du comté de Jefferson, Samuel Livingstone, a déclaré : « Elle était déjà morte lorsqu'elle tomba par terre. Ce fut instantané. » Mais l'autopsie ne trouva « aucune explication » à ce soudain décès. C'est normal puisque le lien temporel n'a jamais soulevé la moindre question.
Toutes ces jeunes femmes étaient en parfaite santé et sont mortes dans les quelques jours, parfois quelques heures ou même quelques minutes, qui ont succédé au vaccin et tout le monde, à part les familles semble trouver cela normal.
La liste des décès s'allonge chaque jour, mais elle ne concerne pour l'instant que les effets à très court terme ; les autres ne seront jamais reliés aux vaccins, même par les familles..
Les médecins américains sont tenus de déclarer au Vaers les accidents dus aux vaccins, mais cet organisme d'état reconnaît qu'on lui rapporte au maximum 10 % des effets indésirables, peut-être moins, et il est facile de voir sur leur site comment ces accidents sont présentés. Les reports du Vaers concernant le Gardasil sont classés par numéros, les noms n'étant pas publiés.
On constate avec étonnement que, sur les certificats de décès, les morts sont dues à des causes naturelles, inconnues ou non déterminées. Mais lorsqu'on examine chaque rapport avec soin, on constate que toutes ces jeunes femmes étaient en parfaite santé avant leur vaccination.
Quelques exemples :
279592 - La cause de la mort est un caillot sanguin.
278865 - Arrêt respiratoire (peut-être dû à la grippe).
280163 - Mort due à une réaction anaphylactique au Gardasil.
297528 - La victime est morte pendant son sommeil.
275428 - Insuffisance de la valve mitrale et de l'aorte due à une étiologie inconnue.
275438 - Mort subite due à une embolie pulmonaire.
275990 - La patiente est décédée d'un caillot sanguin 3 heures après avoir reçu le Gardasil.
287888 - Le patient est mort subitement d'une cause inconnue.
291804 - (Le rapport d'autopsie a révélé que la patiente souffrait d'une ketoacidose diabétique), la mort est donc naturelle.
293388 - Méningo-encéphalite. (Le certificat de décès mentionne tout de même que la patiente avait reçu le vaccin HPV).
300066 - Patiente trouvée morte dans sa camionnette. Le responsable est un caillot sanguin.
323430 - Mort due à un arrêt respiratoire causé par une sclérose latérale amyotrophique.
319810 - Décédée durant son transport à l'hôpital par une cause inconnue.
320909 - Cause de la mort : agression virale du coeur.
320910 - Décédée pendant son sommeil 4 jours après avoir reçu le vaccin.
318491 - Réaction allergique au Gardasil. (Enfin une).
316983 - Décès (sans cause).
317757 - Décès par tuméfaction de la rate et du coeur.
309233 - Décès par trouble du rythme cardiaque.
325814 - Mort de leucémie, (mais le médecin a déclaré que le vaccin a pu déclencher la maladie).
325063 - La patiente est morte d'une myocardite.
310262 - Cause de la mort indéterminée.
322250 - Cause de la mort inconnue.
321405 - Décès par des causes naturelles.
319533 - Arrêt cardiaque provoqué par une étiologie non déterminée.
324002 - Mort subite par arrêt cardiaque dû à une embolie pulmonaire
305606 - Cause non déterminée.
321696 - Arrêt cardiaque provoqué par une étiologie non déterminée.
On peut ainsi remarquer qu'à l'exception de quelques rares cas, la mort est toujours due à un problème cardiaque, ce qui est « normal », mais dont on n'a jamais recherché vraiment la cause.
De son côté, le NVIC (National vaccine information center) reçoit chaque jour des rapports de parents sur leurs filles handicapées par ce vaccin, et dont les médecins persistent à nier cette responsabilité. Le centre demande quand les médecins cesseront-ils enfin de nier ce qui est indéniable et d'être les complices de la politique gouvernementale, à la solde des laboratoires.
Quelques exemples entre mille de ce centre : Amanda a été vaccinée à 14 ans et a manifesté un Syndrome de Guillain-Barré une semaine après la deuxième dose, exactement comme Jessica Gardnerville. Même âge, même délai, même dose, même maladie.
Jenny Tetlock, âgée de 13 ans, a été paralysée un mois après avoir été vaccinée, tout comme Brittany LeClaire, même âge, trois semaines après la vaccination. Après des mois de rééducation, cette dernière boîte toujours. Même manifestation pour Shannon Nelson, 18 ans, qui est en rééducation après deux mois de paralysie générale. Jesalee Parsons, 15 ans, a développé une pancréatite le jour même de sa vaccination.
Si l'on souhaite consulter les blogs américains ou australiens (plus rares cependant), on peut lire des kilomètres de confessions de mères, ou de victimes lorsqu'elles ont échappée à la mort, qui racontent leur calvaire, la dégradation de leur santé, leur désespoir devant tant de vies perdues pour satisfaire la rapacité de « Big Pharma ». Depuis février 2007, la télévision américaine diffuse des reportages montrant des interviews de victimes vivantes du Gardasil et des photos de celles décédées. Les grands canaux américains continuent à produire des émissions sur le sujet.
Autre question qui devrait être évoquée : une jeune femme a développé un cancer du col de l'utérus par les deux sérotypes de papillomavirus contenus dans le vaccin, 15 mois après la vaccination complète, alors que normalement, une dysplasie met une vingtaine d'années au moins à évoluer vers un cancer. Le vaccin aurait-il accéléré l'évolution de ce cancer ? Dans ce cas, nous aurons d'ici quelques années de très mauvaises surprises, mais qui fera encore le rapprochement entre le vaccin et l'augmentation de cette pathologie ? Personne sans doute, avant plusieurs années.
Comment peut-on imaginer que ces milliers de cas américains sont spécifiques de ce pays alors que leur vaccin est le même que le nôtre ? C'est exactement le même problème que pour le vaccin contre l'hépatite B qui a fait officiellement des dizaines de milliers de victimes aux états-Unis, et seulement quelques centaines en France, ou le ROR qui n'a jamais eu d'effets indésirables en France, alors qu'au Royaume-Uni plus de deux milliers de victimes se sont manifestés, tout comme aux états-Unis.
Au Royaume-Uni, le silence est total sur les risques du vaccin anti- papillomavirus, mais le 14 décembre 2008, le Sunday Times nous prévenait que 30 minutes après avoir reçu le Cervarix, une jeune fille de 12 ans en parfait état de santé, Ashleigh Cave, s'est sentie très mal, puis son état s'aggravant au cours des deux jours suivant, elle a été hospitalisée à Camberley, dans le Surrey, où les médecins ont diagnostiqué une myalgie généralisée « probablement due à une récente vaccination ». Une semaine plus tard, elle était admise au Frimley Park hospital, tout le bas de son corps étant paralysé, mais les médecins qui la soignent actuellement refusent d'admettre la responsabilité du vaccin, et GSK a bien confirmé que son cas « ne pouvait pas avoir de rapport avec le vaccin. » On s'en doute bien.
Pour le Cervarix, plus utilisé dans ce pays que le Gardasil, le journal UK Mail online du 15 avril 2009 nous signalait que l'agence MHRA (Medicines and Healthcare products Regulatory Agency), équivalente anglaise du Vaers, avait déjà reçu 1 340 rapports de médecins concernant le Cervarix, utilisé au Royaume-Uni depuis 2008, parmi lesquels on trouvait le même pourcentage d'effets secondaires dramatiques qu'aux États-Unis.
En Australie, certains médecins ont demandé une « importante révision » du Gardasil après trois cas de pancréatite apparus tout de suite après la vaccination. La TGA (Therapeutic Goods Administration), qui correspond à notre Agence du médicament, enquête pour déterminer s'il existe un lien entre la vaccination et ces accidents, d'autant qu'elle a reçu plus d'un millier de rapports d'effets indésirables, et le Medical Journal Of Australia signale cette demande de révision dans son article « Cancer Jab Linked to Pancreas Diseases ».
En France, le silence à ce sujet est aussi assourdissant qu'au Royaume-Uni, mais nous ne sommes pas surpris, puisque la multiplication par quatre des scléroses en plaques après le vaccin contre l'hépatite B n'a pas attiré l'attention des pouvoirs publics ni de l'Afssaps, qui persistent à nier les milliers d'accidents et prônent la vaccination des nourrissons, avec un vaccin qui est, lui aussi, sous surveillance renforcée.
Personne chez nous n'a reparlé des deux décès de jeunes femmes en Europe, dont l'une âgée de 22 ans est morte 2 jours après avoir été vaccinée, et l'autre, âgée de 11 ans, 3 jours après avoir reçu le vaccin. Le médecin hospitalier qui a rapporté ce dernier cas a indiqué que, pour lui, la mort était « due à une réaction anaphylactique au Gardasil », ayant provoqué un arrêt cardiaque. Mais l'Agence européenne du médicament (EMEA), qui n'a pas retenu ce constat et n'a pas établi de lien de cause à effet entre le vaccin et ces décès, considère que l'intérêt du Gardasil reste supérieur aux risques.
L'Agence a bien noté quelques cas de maladies auto-immunes, mais « souvent peu documentés », dont le lien de causalité n'a pu être établi et dont le nombre « reste très inférieur au nombre attendu en l'absence de vaccination ». Que signifient encore ces « cas attendus » ? A-t-on entendu parler de ces cas avant l'apparition du vaccin ?
Quoi qu'il en soit, la mort brutale de deux adolescentes en bonne santé tout de suite après une vaccination, de manière si suspecte que les autorités sanitaires ont été alertées, aurait dû susciter une enquête rigoureuse. En outre, l'Afssaps a totalement occulté que, au-delà de ces deux cas très suspects de mort « subite et inexpliquée », d'autres femmes préalablement vaccinées par le Gardasil sont mortes, comme l'a indiqué l'EMEA dans son propre communiqué.
En Inde où 4 jeunes filles sont décédées après avoir reçu le vaccin contre le papillomavirus, d'après le journal on-line India's National Newspaper du 8 avril 2010, V. M. Katoch, Directeur Général du Conseil indien de la Recherche médicale, a demandé au ministère de la Santé, aux autorités des états et aux citoyens, de suspendre ce programme de vaccination contre le papillomavirus jusqu'à plus amples informations sur le sujet. « Il ne peut y avoir de compromis si les données éthiques sont violées par une organisation non gouvernementale ou une compagnie pharmaceutique. »
Ce pays nous semble bien plus sage que nos gouvernements français, belges, britanniques ou américains qui persistent à nier les nombreux effets secondaires et les décès et à promouvoir et rembourser ce vaccin, non seulement dangereux, mais aussi inutiles que coûteux.
Au cours des années 1990, l'Afssaps a retiré du marché un vaccin contre la maladie de Carré qui affecte les chiens, car les vétérinaires lui avaient signalé la mort d'un chiot. Combien faudrait-il de décès humains pour obtenir le même retrait ?

Sylvie Simon - journaliste